C’est un bien mauvais signal aux victimes de violences policières que viennent d’adresser des magistrats de la cour d’appel de Paris ce vendredi : ils ont relaxé purement et simplement trois policiers qui avaient été condamnés en première instance à des peines (légères) de cinq mois de prison avec sursis pour « violences aggravées » sur des adolescents.
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C’est un bien mauvais signal aux victimes de violences policières que viennent d’adresser des magistrats de la cour d’appel de Paris ce vendredi : ils ont relaxé purement et simplement trois policiers qui avaient été condamnés en première instance à des peines (légères) de cinq mois de prison avec sursis pour « violences aggravées » sur des adolescents.
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