« Sur plus de 1 000 décès que nous gérons chaque année, 90 % de nos clients demandent un rapatriement du corps du défunt vers le pays d’origine : que ce soit le Maghreb, la Turquie, l'Afrique sub-saharienne, l'Asie ou le Moyen-Orient, la tendance est la même », explique Nouredine Ghilli, le gérant de l’institut funéraire omniculte (IFO El Amen), dans le XVIIe arrondissement de Paris, à deux pas de la porte de Clichy, l'une des plus importantes entreprises de pompes funèbres musulmanes de la région parisienne.
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