Flashball, les ravages d'une arme Entretien

Tir de flashball : Pierre et Joachim, gravement blessés, détaillent la violence policière

Le premier procès du flashball se tient à Nantes les 6 et 7 mars. Est jugé un policier, et avec lui une arme aux effets potentiellement dévastateurs. En novembre 2007, Pierre, 16 ans, est gravement blessé lors d'une manifestation. Deux ans plus tard, Joachim, à Montreuil, se fait lui aussi tirer dessus. L'un et l'autre perdent la vue d'un œil. Entretien pour évoquer la violence subie et les efforts pour surmonter la peur.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Tous deux ont été la cible d'un tir de flashball, cette arme aux effets potentiellement dévastateurs dont l'usage s'est répandu en France à partir de 1995 sous l'impulsion de Claude Guéant, alors directeur général de la police nationale. Grièvement blessés, ils gardent l'un et l'autre les marques de la violence subie. Ce ne sont pas des cas isolés, plus d'une vingtaine de personnes ont subi le même sort ces dernières années (à lire sous l'onglet Prolonger). 

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal