Depuis trois ans, La Croix suit, chaque mois, des personnes à la recherche d’un emploi. Ce vendredi 24 février, le quotidien publie le portrait d'Éloi Verlin, 39 ans, reconverti dans le métier de couvreur-zingueur. « Je travaille toujours dans la même entreprise, quelques jours par mois comme autoentrepreneur », explique-t-il. Une expérience qu’il perçoit comme un stage de perfectionnement dans la pose d’étanchéité, même s’il se sent « quasiment opérationnel ». Mais en quatre mois, ses perspectives ont perdu de leur assurance. Le CDD promis par l’entreprise qui l’emploie irrégulièrement ne semble plus tout à fait d’actualité. « De toute façon, je suis passé à autre chose », confie-t-il. Ce qu’il cherche désormais, ce sont quelques journées d’autoentrepreneuriat de plus, tout en reconnaissant que cette perspective présente beaucoup de contraintes. « Je manque d’expérience, je travaille seul et je suis handicapé par l’absence de matériel », reconnaît-il. La solution ? « Travailler avec un autre couvreur autoentrepreneur, et pourquoi pas monter une entreprise à deux. » Ou partir en région… Retrouver le portrait d'Éloi Verlin dans son intégralité sur le site de La Croix.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Depuis trois ans, La Croix suit, chaque mois, des personnes à la recherche d’un emploi. Ce vendredi 24 février, le quotidien publie le portrait d'Éloi Verlin, 39 ans, reconverti dans le métier de couvreur-zingueur. « Je travaille toujours dans la même entreprise, quelques jours par mois comme autoentrepreneur », explique-t-il. Une expérience qu’il perçoit comme un stage de perfectionnement dans la pose d’étanchéité, même s’il se sent « quasiment opérationnel ». Mais en quatre mois, ses perspectives ont perdu de leur assurance. Le CDD promis par l’entreprise qui l’emploie irrégulièrement ne semble plus tout à fait d’actualité. « De toute façon, je suis passé à autre chose », confie-t-il. Ce qu’il cherche désormais, ce sont quelques journées d’autoentrepreneuriat de plus, tout en reconnaissant que cette perspective présente beaucoup de contraintes. « Je manque d’expérience, je travaille seul et je suis handicapé par l’absence de matériel », reconnaît-il. La solution ? « Travailler avec un autre couvreur autoentrepreneur, et pourquoi pas monter une entreprise à deux. » Ou partir en région… Retrouver le portrait d'Éloi Verlin dans son intégralité sur le site de La Croix.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous