Ni oui, ni non : peut-être. Le procureur de la République de Nantes a fait savoir, le 16 mars, qu’il ne ferait pas droit à la demande de l’une des héritières de l’ancien président du Gabon Omar Bongo, qui demandait aux services de l’état civil français la communication de l’acte de naissance de son frère Ali, actuel chef de l’État gabonais. Comme Mediapart l’a raconté la semaine dernière, l’un des 53 héritiers d’Omar Bongo, Onaida Maisha Bongo Ondimba, avait saisi début janvier la justice française de l’affaire des origines d’Ali Bongo, un dossier très sensible au Gabon.
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