Le seul résultat « ordinaire » de l’élection présidentielle du 23 avril aura été celui de la participation. Celle-ci n’est certes pas très élevée au regard du caractère particulièrement incertain du scrutin, qui recelait pour cette raison un fort potentiel mobilisateur. Avec un taux comparable à ceux atteints en 1969, 1981, 1988, 1995 ou 2012, elle se situe néanmoins à un niveau tout à fait honorable. La centralité de l’élection présidentielle dans la vie politique française, en tout cas du point de vue de l’expérience des électeurs et de l’importance qu’ils lui accordent, n’est donc pas démentie.
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Le seul résultat « ordinaire » de l’élection présidentielle du 23 avril aura été celui de la participation. Celle-ci n’est certes pas très élevée au regard du caractère particulièrement incertain du scrutin, qui recelait pour cette raison un fort potentiel mobilisateur. Avec un taux comparable à ceux atteints en 1969, 1981, 1988, 1995 ou 2012, elle se situe néanmoins à un niveau tout à fait honorable. La centralité de l’élection présidentielle dans la vie politique française, en tout cas du point de vue de l’expérience des électeurs et de l’importance qu’ils lui accordent, n’est donc pas démentie.
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