Face au risque d’attentat dans une centrale nucléaire, aux conséquences incommensurables, jusqu’où peut aller le principe de précaution ? L’État peut-il, au nom de ce principe de précaution, briser une carrière et une famille sans se justifier, sous couvert de « secret défense » ? Monsieur E. travaillait sur la tranche 1 de la centrale nucléaire de Civaux quand, le 14 avril 2016, son autorisation d’accès aux centres nucléaires lui a été retirée. « Mon chef m’a appelé. “On vous a retiré vos accès, vous devez quitter le site.” Je suis rentré chez moi, c’était le choc, un coup de massue qui a chamboulé notre vie », dit cet homme de 53 ans, né au Maroc et de nationalité française.
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Face au risque d’attentat dans une centrale nucléaire, aux conséquences incommensurables, jusqu’où peut aller le principe de précaution ? L’État peut-il, au nom de ce principe de précaution, briser une carrière et une famille sans se justifier, sous couvert de « secret défense » ? Monsieur E. travaillait sur la tranche 1 de la centrale nucléaire de Civaux quand, le 14 avril 2016, son autorisation d’accès aux centres nucléaires lui a été retirée. « Mon chef m’a appelé. “On vous a retiré vos accès, vous devez quitter le site.” Je suis rentré chez moi, c’était le choc, un coup de massue qui a chamboulé notre vie », dit cet homme de 53 ans, né au Maroc et de nationalité française.
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