Selon le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin, « lorsque les manifestations deviennent violentes, [ce n’est] pas de la part des policiers. C’est eux les victimes des violences. » C'est ainsi qu'il a répondu à un auditeur qui l’a interpellé sur France Inter le 23 septembre. Le déni des violences policières n’a donc pas évolué. Et le le nouveau schéma national du maintien de l’ordre (SNMO) en est une preuve supplémentaire.
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