Cadres, seniors et intermittents, victimes des nouvelles règles de l'assurance-chômage
Le patronat et trois syndicats (CFDT, FO, CFTC) sont parvenus à un accord à l'arraché sur de nouvelles règles d'indemnisation du chômage à compter du 1er juillet prochain. Le texte instaure un système de « droits rechargeables » mais durcit le régime des cadres, seniors et intermittents.
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Finalement, ils ont arraché un compromis. Après deux jours de négociations houleuses, souvent désespérantes, d’abord en séance plénière autour de la table puis dans les couloirs du Medef en conciliabules informels (que vous pouvez revivre ici sur le site des Échos), patronat et syndicats se sont mis d’accord sur un nouveau système d’indemnisation des demandeurs d’emploi dans la nuit du vendredi 21 au samedi 22 mars, l’un des plus gros chantiers sociaux de ce début d’année. Ils avaient jusqu'à fin mars pour négocier de nouvelles règles dans un contexte de chômage record et de déficit abyssal de l’Unedic, l’organisme gestionnaire de l'assurance-chômage. En cas d’échec, l’État reprenait la main sur le paritarisme.
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par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
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— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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