Deux continents, deux ambiances. Aux États-Unis, Emmanuel Macron, interrogé par Fox News, promet la fermeté absolue face aux cheminots. En France, son premier ministre fait enfin un geste, après un mois de conflit et dix jours de grève en pointillé. Conformément à leur demande, Édouard Philippe rencontrera les syndicats le 7 mai prochain à Matignon, tout en regrettant le boycott des concertations organisées jusqu’ici au ministère des transports par Élisabeth Borne. En retour, les fédérations syndicales cheminotes ont mis en sourdine la menace selon laquelle le conflit irait au-delà du mois de juin.
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Deux continents, deux ambiances. Aux États-Unis, Emmanuel Macron, interrogé par Fox News, promet la fermeté absolue face aux cheminots. En France, son premier ministre fait enfin un geste, après un mois de conflit et dix jours de grève en pointillé. Conformément à leur demande, Édouard Philippe rencontrera les syndicats le 7 mai prochain à Matignon, tout en regrettant le boycott des concertations organisées jusqu’ici au ministère des transports par Élisabeth Borne. En retour, les fédérations syndicales cheminotes ont mis en sourdine la menace selon laquelle le conflit irait au-delà du mois de juin.
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