Trois nuits durant, Villeneuve-la-Garenne aura rompu le silence monotone du confinement. Dimanche 19, lundi 20 et mardi 21 avril, la commune des Hauts-de-Seine aura veillé au son des sirènes de police, à la lumière des feux d’artifice et aux effluves de poubelles incendiées. Le spectacle d’une révolte urbaine provoquée par la blessure grave, samedi 18 avril, d’un homme de 30 ans percuté par la portière d’un véhicule de police banalisé soudainement ouverte alors qu’il s’en approchait.
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Trois nuits durant, Villeneuve-la-Garenne aura rompu le silence monotone du confinement. Dimanche 19, lundi 20 et mardi 21 avril, la commune des Hauts-de-Seine aura veillé au son des sirènes de police, à la lumière des feux d’artifice et aux effluves de poubelles incendiées. Le spectacle d’une révolte urbaine provoquée par la blessure grave, samedi 18 avril, d’un homme de 30 ans percuté par la portière d’un véhicule de police banalisé soudainement ouverte alors qu’il s’en approchait.
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