À en croire les acteurs impliqués dans la réforme du master, l’accord signé le 4 octobre devrait permettre de corriger une situation devenue intenable dès la rentrée 2017. Sortir de l’impasse dans laquelle étaient placées les universités, contraintes de sélectionner illégalement les étudiants entre la première et la deuxième année de master, faute de places. Ainsi ont-ils perpétué des années durant un vieil usage, hérité des pratiques de sélection entre la maîtrise et le DEA-DESS, sans base légale et au mépris des préconisations de la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat) de 2002.
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À en croire les acteurs impliqués dans la réforme du master, l’accord signé le 4 octobre devrait permettre de corriger une situation devenue intenable dès la rentrée 2017. Sortir de l’impasse dans laquelle étaient placées les universités, contraintes de sélectionner illégalement les étudiants entre la première et la deuxième année de master, faute de places. Ainsi ont-ils perpétué des années durant un vieil usage, hérité des pratiques de sélection entre la maîtrise et le DEA-DESS, sans base légale et au mépris des préconisations de la réforme LMD (Licence-Master-Doctorat) de 2002.
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