Comment vit-on quand on a été mutilé par des tirs de flashball ou des grenades de désencerclement ? La question se pose aujourd'hui pour des dizaines de personnes atteintes depuis le début du mouvement des gilets jaunes. En deux mois, les forces de l’ordre ont en effet éborgné plus de personnes qu’au cours des quinze dernières années.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous