«Vous voyez qu'on n'est pas dans une forteresse assiégée. » Georges Tron, chef de file de l'UMP-UDI dans l'Essonne, ancien ministre, maire de Draveil depuis vingt ans, s'est assis dans son canapé en cuir aux côtés de son adjointe à l'urbanisme. Sa colistière, Aurélie Gros, lui fait face. Toutes deux dégustent un café dans un gobelet en plastique, lui boit du vin blanc dans un verre à pied qu'il prend le temps de faire tournoyer avant de le siroter par petites gorgées. Son bureau tranche avec le reste de la mairie. Une épaisse moquette a remplacé le carrelage, des bouteilles de spiritueux reposent sur un meuble en bois, une imposante bibliothèque fait office de toile de fond. « On mange des petits gâteaux, ajoute-t-il, on est tranquilles. »
«Vous voyez qu'on n'est pas dans une forteresse assiégée. » Georges Tron, chef de file de l'UMP-UDI dans l'Essonne, ancien ministre, maire de Draveil depuis vingt ans, s'est assis dans son canapé en cuir aux côtés de son adjointe à l'urbanisme. Sa colistière, Aurélie Gros, lui fait face. Toutes deux dégustent un café dans un gobelet en plastique, lui boit du vin blanc dans un verre à pied qu'il prend le temps de faire tournoyer avant de le siroter par petites gorgées. Son bureau tranche avec le reste de la mairie. Une épaisse moquette a remplacé le carrelage, des bouteilles de spiritueux reposent sur un meuble en bois, une imposante bibliothèque fait office de toile de fond. « On mange des petits gâteaux, ajoute-t-il, on est tranquilles. »
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