De mémoire d’enquêteur financier à la police judiciaire, il s’agit d’une première. Vingt-cinq fonctionnaires de l’Office anticorruption (OCLCIFF) de Nanterre, le service d’élite de la PJ française dans la lutte contre la “délinquance en col blanc”, ont adressé le 13 mars au directeur général de la police nationale un courrier alarmant, dans lequel ils alertent sur trois phénomènes qui mettent aujourd’hui en danger leur mission : une absence chronique de moyens, une déconsidération de la haute hiérarchie policière et la multiplication de pressions politiques sur leur travail.
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De mémoire d’enquêteur financier à la police judiciaire, il s’agit d’une première. Vingt-cinq fonctionnaires de l’Office anticorruption (OCLCIFF) de Nanterre, le service d’élite de la PJ française dans la lutte contre la “délinquance en col blanc”, ont adressé le 13 mars au directeur général de la police nationale un courrier alarmant, dans lequel ils alertent sur trois phénomènes qui mettent aujourd’hui en danger leur mission : une absence chronique de moyens, une déconsidération de la haute hiérarchie policière et la multiplication de pressions politiques sur leur travail.
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