Samedi 20 avril, alors qu’il couvre l’acte XXIII des « gilets jaunes », le journaliste indépendant Gaspard Glanz, 32 ans, reçoit des éclats d’une grenade sur la jambe. Il demande aux forces de l’ordre à s’entretenir avec le commissaire pour comprendre pourquoi il a été visé par ce tir. Il est alors violemment repoussé par un policier auquel il répond par un doigt d’honneur. S’ensuit une interpellation musclée.
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Samedi 20 avril, alors qu’il couvre l’acte XXIII des « gilets jaunes », le journaliste indépendant Gaspard Glanz, 32 ans, reçoit des éclats d’une grenade sur la jambe. Il demande aux forces de l’ordre à s’entretenir avec le commissaire pour comprendre pourquoi il a été visé par ce tir. Il est alors violemment repoussé par un policier auquel il répond par un doigt d’honneur. S’ensuit une interpellation musclée.
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