Tout au long de l’après-midi, des hommes et des femmes s’approchent sans dire un mot, déposent une fleur, une gerbe ou une bougie, et s’en vont. Certains restent plus longtemps que d’autres, silencieux dans ce ballet incessant. Une femme étouffe un sanglot et soupire : « C’est tellement triste… » Sur le parvis du collège du Bois d’Aulne, l’émotion n’était pas retombée vendredi 23 octobre, une semaine après l’horreur.
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Tout au long de l’après-midi, des hommes et des femmes s’approchent sans dire un mot, déposent une fleur, une gerbe ou une bougie, et s’en vont. Certains restent plus longtemps que d’autres, silencieux dans ce ballet incessant. Une femme étouffe un sanglot et soupire : « C’est tellement triste… » Sur le parvis du collège du Bois d’Aulne, l’émotion n’était pas retombée vendredi 23 octobre, une semaine après l’horreur.
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