c'est l'existence d'un marché du travail qui permet braderie, soldes, et autres diverses remises sur les articles invendables oh pardon inemployables parce que des employeurs en ont décidés seuls ainsi
Excellente interview qui permet, à mon sens, de prendre un peu de recul sur cet accord. Je constate que la grande majorité des lecteurs de Mediapart est très virulente face à cet accord. Ce n'est pas mon cas.
On peut penser de manière caricaturale que seuls les salariés souffrent en ce moment en France, mais la réalité est plus complexe à mon sens. Les petits chefs d'entreprise traversent également un moment très difficile et tout l'intérêt de cet accord est d'essayer de trouver des propositions médianes capables de répondre à certains problèmes bien français : comment permettre à une entreprise de traverser une période difficle sans forcément licencier son personnel, comment permettre à des salariés de se former tout au long de leur carrière pour éventuellement rebondir en cas de difficulté avérée de leur boite ou simplement changer de boulot par choix, comment renforcer la présence des salariés dans les choix stratégiques des entreprises .....
Je sais que la plupart d'entre vous ne va pas partager mon modeste propos. Peu importe, seul le débat m'intéresse.
Les petits entrepreneurs, les petits commerçants, les petits artisants, les petits agriculteurs, et les moins petits ausssi, qui votent, dans une grande majorité pour Nicolas Sarkozy et sa clique, et qui pleurent, parce que ça leur fait mal ?
Et alors, pourquoi le système économique qu'ils nous imposent, devait ne s'appliquer qu'à leurs salariés/consommateurs, et pas à eux ?
Quel accord avaient ils conclu auparavant ?
Si depuis tant d'années ils n'ont toujours rien compris, c'est que vraiment, ils sont bouchés à l'émeri.... ou que ça ne va pas si mal que ça pour eux.
Cesssez de nous prendre pour des billes, la c....... cela ne nous fait rire qu'un moment.
Je pense également que cette interview est très intéressante et le titre de l'article apparait en décalage avec le contenu de l'interview, forgé à partir de deux mots figurant dans deux phrases successives. Le paragraphe suivant me parait mieux rendre compte de l'appréciation portée par M. Gazier sur l'ANI:
"J’ai une appréciation nuancée de cet accord, tout en soulignant ses dangers. Ce n’est ni l’accord révolutionnaire salué par certains, ni la honte absolue dénoncée par d’autres. À travers des chemins compliqués et parfois biaisés, il constitue malgré tout un petit pas dans la direction d’une meilleure sécurisation des parcours professionnels".
J'ai lu attentivement l'ANI et j'ai une opinion plus négative de l'accord qui me parait trop déséquilibré en faveur du patronat, moins d'ailleurs par ce qu'il autorise car c'est soumis à la conclusion d'un accord local majoritaire que parce que les contreparties lâchées par le MEDEF sont faibles ou très faibles. Un exemple: la "taxation" des contrats courts: non seulement elle est très faible, mais il est facile d'y déroger et surtout l'interim n'est pas concerné par l'accord (renvoi à une négociation ultérieure). De surcroit, le MEDEF a empoché une ristourne supplémentaire sur les charges sociales dont l'évaluation dépasse celle de ladite taxation. Autre exemple: la représentation au conseil d'administration. Seul un représentant et seulement dans les très grandes entreprises. Je doute que cela change quoi que ce soit. La prise en charge d'une mutuelle santé est en revanche une concession réelle, avec les limites que souligne M. Gazier...
Cela étant, je n'ai pas analysé en détail l'accord et attend surtout de voir ce que le Parlement en fera.
Les employés n' auraient aucune difficulté a se former pour rebondir si les Sarkozy et autres margoulins pour lesquels les petits patrons et les petits commercants on votés ne les noyaient pas tous les soir avec le Foot, la starac, Drucker, Patrick Sebastien ( les années bonheur.....) et autres Hand ball. Sans parler de la formation en perfusion directe et que leur administre quotidienement Pujadas, Lenglet et autre Maryse.........Et je ne vous parle meme pas de la Francaise des Jeux qui trois fois par semaine leur enseigne comment s'enrichir.
Quand a revenir au Pauvre sort des petits patrons , quand ils viendrons a leur bureaux en tramway faute de pouvoir payer l'assurance sur leur 4X4 que leur impose d'ailleurs d'autres petits et grands patrons... ce jour la on aura compri que ca va mal pour eux. En attendant ils regardent tous l'heure sur leur breloques a 50 milles patates qu'ils pretendent avoir merité....
allons donc les malheureux petits patrons,fallait si attendre, je vais pleurer
dans ma ville qui se meurt de l'industrie TEXTILE.
voilà dans les lien l'histoire d'un patron qui un jour a délocalisé en europe de l'est et de fait a licencié le personnel de ma ville ; ensuite le " malheureux " patron suite a déboire retrouve ses locaux en France et ce monsieur petit patron," CHÔMEUR " fait un Master en E S S, et le voila qui envisage d'ouvrir des Ateliers avec le soutien E E S, , a oui très malheureux cet homme
Que deviennent les anciens salariée et bien pas de Master, les proposition sont petit job sans avenir au mieux
la vie d'un patron au chomage qui se reconverti
Pierre Gout est un ancien patron d'une entreprise textile bien connue dans ... A l'évidence, ce n'était pas rendre service à Pierre Gout et surtout à son projet : « Les ... 2 – Communiqué de presse de l'Union Locale CGT de Castres... Par contre nous savons malheureusement, qu'encore aujourd'hui, des ..
ci dessous différente appréciation + une vidéo du fringant entrepreneur
Je m'étonne que Médiapart s'abaisse à donner autant la parole à ce "Monsieur" Bernard Gazier, économiste, professeur émérite à l'Université Paris I,. il m'apparaît surtout émérite en matière de distorsion de la réalité; cet accord, pour quelques points positifs mais encore vagues, est d'abord un formidable retour en arrière qui enlève la plupart des protections dont bénéficiait le monde salarial.
Reste à savoir ce que le Parlement en fera... J'ai les pires craintes malgré les palinodies souvent anonymes de quelques élus socialistes: prendre et garder le pouvoir le plus longtemps possible, quelque en soient les conditions et les décisions prises, c'est à cela qu'on a toujours reconnu un socialiste, depuis la vieille SFIO qui s'enfonça, par exemple, dans la guerre d'Algérie à outrance (en tortures et en dévastations diverses) alors que ses affiches électorales de janvier 1956 avaient comme slogan "assez de sang versé en Algérie"...
C'est en cela qu'un socialiste est d'abord un social-traître devant le peuple et le monde ouvrier !
LES PETITS PATRONS VONT AUSSI SOUFFRIR DE CET ACCORD.
Le droit de librement licencier qu'il donne aux entreprises, surtout aux grandes entreprises, va réduire le nombre et le pouvoir d'achat des clients des petits entrepreneurs, et ce sera à leur tour d'être au chômage. Mais pauvres petits patrons ! ça sera trop tard pour comprendre qu'ils sont dans le même bateau que les salariés et qu'en les défendant ils se défendent eux mêmes. Dans beaucoup de petites villes, maintenant, les commerçants l'ont compris, ils soutiennent financièrement les salariés en lutte pour leurs emplois.
D'autre part vous dites que les entreprises doivent pouvoir "traverser une période difficile sans pour autant licencier". Vous n'avez pas lu cet accord. Il impose, au contraire un droit de chantage aux licenciements des empoyeurs sur les syndicats. C'est à dire, augmentation du temps de travail sans augmentation des salaires, flexibilité accrue des horraires et lieux de travail... bien sûr, tout cela "négocié" avec les syndicats le couteau sous la gorge (vous acceptez ou on applique la nouvelle loi compétitivité-emploi permettant les licenciements "pour motif personnel" pour non consentement au changement du contrat de travail). Rien a voir, avec garder les salariés pour passer une période difficile, au contraire, c'est un droit de "dégraisser" où le motif économique devient un motif personnel, sans indemnités et sans recours aux prud'hommes.
Pour juger cet accord allez lire son analyse par Gérard Filoche, ex inspecteur du travail et MEMBRE DU PS. Il le démonte et démontre sa régression massive du droit du travail pour les salariés.
Gérard Filoche : « je suis choqué qu’on dise de quelqu’un de gauche que ce sont des « salopards » ? Même de Blum quand il refusait l’intervention en Espagne ou de Thorez quand il soutenait le pacte germano-soviétique…
la gauche a hélas fait tellement d’erreurs et la droite tellement de mal
je distingue la gauche qui n’est pas bonne et la droite qui est mauvaise »
Belle leçon d’humanisme, merci, Mr Filoche.
Pour l’accord, cela n’en sera pas un, aucun salarié n’acceptera la mise à la poubelle du code du travail, des conventions collectives et de l’image de la France, terre de l’honneur des hommes contre l'esclavage.
"La prise en charge d'une mutuelle santé est en revanche une concession réelle, avec les limites que souligne M. Gazier..."
Et un but caché ! La mise en place d'une structure généralisée nommée mutuelle santé, facilement transposable en assurance santé en lieu et place de la sécurité sociale en instance de"mutation" ! Et pourquoi pas en retraite par capitalisation ! Ces deux projets ne sont-ils pas déjà dans les cartons du MEDEF?
la mauvaise foi dans la première page de l'article m'a passablement énervée:
" Sans doute que les salariés de Dunlop ont été leurrés, mais est-ce qu’il ne fallait pas essayer ? Cet accord se révèle perdant, mais s’il y a des investissements, si les baisses de salaire ou l’intensification du rythme de travail sont temporaires, il demeure logique d’essayer. En Allemagne, les salariés ont passé voilà deux ans des accords compétitivité/ emploi temporaires, qui n’ont pas conduit à une perte de pouvoir structurelle des salariés
Ils ont "essayé" chez BOSCH à Venissieux , le même schéma: chantage à l'emploi contre baisse de salaires, augmentation du temps de travail, et finalement tout le monde dehors .
Chez Volkswagen par contre, si le travail est devenu à temps partiel du fait de l'écroulement des ventes et de l'augmentation des stocks, le salaire n'est pas devenu partiel , contrairement à ce qui est répété ici : l'Etat a pris en charge le manque à gagner; les syndicats ont dit "d'accord à la réduction du temps de travail mais aucun licenciement "(sinon perte de la compétence du salarié) ;
Comme, les syndicats allemands décident et gèrent de manière paritaire au CA (Mitbestimmung) , le patron peut difficilement leur raconter des salades sur l'état de l'entreprise; les syndicalistes sont aussi responsables et sanctionnés par le vote des militant-s si nécessaire. Le rapport de force est d'autant plus fort que les syndicats sont unis et légitimés par les élections.
C'est pour cela que le patronat de France a choisi le chomâge de masse et l'Allemand , la pauvreté de la masse des précaires;
Ce "essayez" , que prône l'interviewé, balaie l'inégalité fondamentale du rapport de force: d'un côté du fric à déplacer; de l'autre , des vies.
c'est donc du pipeau: l' accord étant basé sur le mythe nécessaire au patronat d'un rapport égalitaire entre le patron et le salarié ; dans le rapport entre le fort et le faible, c'est la liberté qui opprime et la loi qui protège (Marx , je crois);
la fleximachin à la française , c'est simplement la liberté patronale et chacun pour soi: l'abandon de la protection de la loi ;
la flexibilité, par exemple, serait facilement obtenu par le revenu universel , mais c'est une idée Hayeko-incompatible .
dans un contexte de désindustrialisation, vieux de plus de trente ans, alors que 80% des investissements sont désormais purement financiers et n'ont aucun impact dans l'économie réelle, cet accord prend les gens pour des cons!
Le but de l'économie , ce n'est pas l'emploi; (ça se verrait depuis le temps)le but de l'économie , c'est le profit
faire son savant avec ses anglicismes, c'est pathétique:
"Exit revient à s’en aller chercher ailleurs sur le marché du travail." le patronat allemand contribue mille fois plus que le français à la formation ; c'est donc plus simple de se "recycler" en Allemagne avec des qualifications reconnues et financées par l'entreprise*
"Loyalty consiste à accepter et se soumettre " c'est ce qu'espère Parisot en agitant ses guignols: TINA, mondialisation, exil fiscal, blessure narcissique patronale; elle guette la soumission volontaire , en actionnant au besoin le levier gouvernemental
"Voice à protester sur place".et... à gagner ses procès, comme les Fralib, pour la troisième fois.
"Mais les termes ne s’opposent peut-être pas aussi mécaniquement qu’on le croit en France. Exit et Voice peuvent être, et doivent être, des démarches complémentaires. "
le patronat connait bien ce genre de complémentarité, et ce type de mantras anglicisants: il utilise constamment exit (prenez la porte!) and voice (propagande) ;
le salariat ne l'intéresse plus, mais lui sert de prétexte pour parvenir à déconstruire le droit solidaire qu'on batit nos ainé-e-s , dont il ne veut pas.
Evitez la névrodéjection en public... Les propos de M. Duroux sont très dignes et très sensés. Je le dis, bien que je sois en désaccord avec son analiise (ii pcq vieil ordi et clavier)
Vous aviez bien démarré et vous terminez par l'insulte, provoquant une surenchère. Les petits entrepreneurs sont victimes comme leurs salariés des politiques d'austérité (sont pas au cac40). Mais il leur est tellement difficile d'embaucher, augmenter ou garder leur(s) salarié(s) que ça peut entraver leur clairvoiiance politique (ce que je n'ai pas décelé chez M. Duroux, attention aux généralisations)
Je suis un salarié qui descend très souvent dans la rue et qui a fait grève, un meneur même. Mon sens critique (halte aux idées toutes faites) me permet, j'espère, d'éviter de me tromper de cible... et surtout de m'éviter d'être frappé de crétinothanasie (mourir de cela me fait très peur).
Je trouve grave les signatures de la CFDT, CGC, CFTC, mais aucunement l'avis honnête et sincère de M. Duroux, il l'a donné courageusement pour le débat.
Pour ce débat, j'ai trouvé la réponse de "pourlavenir" (un peu plus bas) comme la plus intéressante... (n'est pas la seule: ex "De Andrade" plus haut) Deux sources bien différentes et qui se rejoignent sur le fond.
"Pour l’accord, cela n’en sera pas un, aucun salarié n’acceptera la mise à la poubelle du code du travail, des conventions collectives et de l’image de la France, terre de l’honneur des hommes contre l'esclavage."
Malheureusement, si, des salariés, ou plutôt des syndicats, sensés représenter les salariés, l'ont signé et le gouvernement veut le transcrire dans la loi.
A nous de refuser, DANS LA RUE, LE 5 MARS, ce recul de 100 ans du droit du travail avant qu'il ne devienne loi.
Eh oui, les "petits chefs d'entreprise traversent également un moment très difficile" ; et moins les salariés auront de ressource (flexibilité, temps partiel très court, chomage…), moins ils achèteront aux petites entreprises lesquelles devront faire moins travailler, puis licencieront, puis fermeront ; cqfd.
En fait, en tant qu'ancien cadre de grande et moyenne entreprise, puis chef de petites entreprises, je peux affirmer que l'on embauche que si l'on a à produire pour vendre !
JAMAIS ON N'EMBAUCHE PARCE QU'ON POURRA PLUS FACILEMENT LICENCIER !!!! on entend ça depuis des années, je sais, mais c'est idiot : on ne se lance pas dans un projet pour penser avant tout à sa fin.
Il nous faudrait un gouvernement progressiste (et non pas régressiste) qui remette un peu de carburant et d'espoir dans tout ça…
Et si on arrêtait avec l'Emploi. Faut-t-il se rappeler de l'objet de la production de Goodyear. Des PNEUX. Une logique consumériste de pneux qui finissent dans la nature à polluer dans d'immenses décharges à ciel ouvert...
C'est ca, la "transition"? C'est ca le "changement"?
Revenu de base. Fin de l'emploi. Fin de la société de Consommation, Mise à mort de la recherche de Croissance (infinie dans un monde limité avec des ressources limitées). Société de loisir et recherche du bien vivre.
Pourquoi s'acharner à travailler plus si l'on a le nécessaire en travaillant beaucoup moins? Pour que les 1% nagent dans leur argent dans les paradis fiscaux?
economie Après ArcelorMittal, la Wallonie est confrontée à un nouveau drame social: Caterpillar à Gosselies va se séparer de 1.400 personnes, soit 1.100 ouvriers et 300 employés et cadres. Et 190 contrats à durée déterminée ne seront pas reconduits. «Il ne s’agit pas d’un plan social mais d’un plan industriel pour sauver l’usine», selon la direction. Les travailleurs sont sous le choc.
Mouais, pas étonant que ce type n'aime pas le terme de social-traitre. Il commence par voir dans le texte quelques points positifs, mais, après analyse, le seul qu'il y voit vraiment est le passage du terme "chomage partiel" à "activité partielle". Tu parles d'une avancée, étant entendu que le reste n'est que reculades. Et la blague sur la "validation des acquis de l'expérience", en pleine déroute industrielle, jetant des O.S qui ont répété le même geste mécaniquement pendant 30 ans... Ca me fait penser aux discours sur la meilleure spécialisation des formations professionnelles: en quoi le fait d'avoir des BTS plantes vertes à dicotylédons va créer plus d'emplois dans la branche que de simples C.A.P jardinages? La seule chose qui change, c'est le rétrecissement des opportunités d'embauches pour des jeunes sur-spécialisés. Le véritable problème de l'emploi est un problème de politique industrielle et commerciale, qui demanderait la fin du libre-échange avec les pays pratiquant le dumping social et envirronemental. De même, si on veut jouer le jeu de la politique de l'offre, il faut rendre progressives les cotisations sociales, à la manière de l'impôt sur le revenu, afin de laisser respirer les PME, et d'augmenter les cotisations des multinationales qui de toutes façons arriveront toujours, par le jeu de l'optimisation fiscale et la délocalisation des bénéfices, à échapper à l'impôt (et ne me dîtes pas que c'est contradictoire, les cotisations sociales n'ont rien à voir avec l'impôt).
C'était un accord gadget, et il restera gadget de communication. Pa signé par tout le monde. C'était déjà fatal. Il a permis de faire rêver le travailleur : maladie, formation, et autres. Mais il n'y aura aucune suite opérationnelle. De toutes façons le problème n'est pas là. Tant qu'on aura pas réglé leproblème des voleurs , lesfinanciers, on ne peut rien faire. C'est comme chercher à rendreo ptimale une chaudière si toutes les portes et fenêtres sont ouvertes !
Parisot sur France-Inter le 15/01 sur "l'accord" : " ce n'est pas aux parlementaires de faire la loi ....le droit social doit etre de la SEULE COMPETENCE des partenaires sociaux " ciculer il n'y à rien à voir ! Ceci associé à la FEODALITE et à la minorité représentative de ces syndicats ( ? ) associés , on mesure toute l' hypocrisie du gouvernement , de notre Président et de son premier ministre , aucune illusion ce texte sera odopté les " godillots " suivront . Cet accord est un leurre pour le monde du travail ( ouvriers et cadres ) , ou situe t' on le " donnant- donnant " ( te payer moins et te faire travailler plus et cela quand je veux , le travailleur redevient un mendiant , LE MODERNISME DU à la mondialisation ( le bonheur de l' humanité dixit Minc et ses cranes d'oeufs ) s'ecrit en réalité RETOUR à l' ESCLAVAGE ,exploitation de l'humain , est-ce là l' avenir proposé par le SOCIALISME ....? Indignions nous certes mais allons plus loin , dépassons l'indignation , sans actions concrétes nous demeurerons esclaves de cette oligarchie incapable de penser l' HUMAIN , et dont l' unique soucis reside en la gestion budgétaire pour le plus grand bien des banquiers et associés ( fonds de pension , assoiffés nuisibles divers...qui n'investissent que dans la spéculation , refusent les pertes , imposent aux états " à leur botte " l' austérité " pour remboursement d'une dette essentiellement créée par eux ) ...le comble !
Je ne comprends pas tout sur Médiapart, ça ressemble à feu Monsieur Hessel qui pouvait dire des choses extraordinaires comme "leur dette", "notre démocratie" ailleurs on ressort des interviews comme "le CNR en ces temps de remise en cause des acquis sociaux" en même temps en Janvier 2012 Monsieur Hessel demandait à Mélenchon de ne pas se présenter aux élections présidentielles et soutenait d'abord DSK et ensuite Hollande (et on voit le résultat ). On est englué la dedans, rien n'avance, tout recule !. (je viens de revisionner "après la gauche" 12 extraits...alors que se passe-t-il? pourquoi des articles comme celui-là quand on est lucide sur la situation ?
M. Gazier est un petit rouage sémantique de la mise en place du "marché libre transatlantique" voulu par la commission européenne pour 2015.
1ère étape terminée en 2012: signature du pacte de stabilité.
2ème étape en cours 2012-2014: les gouvernements socialistes ou non, ne peuvent faire autrement que d'appliquer les fameuses réformes structurelles : un code du travail, une retraite par répartition et une sécurité sociale dérisoires pour tous les européens.
3ème étape à venir 2015 : les financiers du monde entier vont pouvoir jouer au casino avec des milliers de milliards d'euros en assurances privées que chaque foyer européen va devoir contracter.
L'UMP et le PS signent tous les pactes de régression au niveau européen.
La CGC et la CFDT signent tous les accords de régression au niveau français.
Les professeurs, experts, chercheurs expliquent depuis 30 ans, de façon très pédagogique que ceux qui luttent sont des ringards.
Oui, le gazier veut du changement à partir de la même matrice. Autant dire qu'il soutient le néolibéralisme, grâce aux efforts conjugués du PS et du libéralisme.
Une seule solution le combat.......Comme l'ont fait aussi les canadiens qui ont remporté la victoire pour leurs revendications..........Quel combat avec la chanson un morceau de chiffon rouge!
oser prétendre que l'article de l'ANI relatif à la complémentaire santé est une réelle avancée s'appelle prendre les gens pour des imbéciles. La garantie minimum obligatoire instaurée par l'accord ne concernera que le salarié et pas sa famille et pour un niveau de prestation lamentable....... pour le reste, aucun droit n'est ouvert mais seulement quelquefois des possibilités et à condition que le patron soit d'accord......oui, les signataires de ce texte sont des social-traitres. Et décidément, loin du bla bla du personnage interviewvé, la partie la plus intéressante de cet article se situe au tout début lorsque la journaliste explique la situation de ces travailleurs d'Amiens, on devine que la violence qui leur est faite est inouie. Et entre les uns, épuisés par un rythme de travail qu'ils ont accepté pour rien, et les autres dans la lutte encore et encore, je préfère, et de loin la dignité gardée du - de la- travailleu-se-r en lutte........
La complémentaire santé est au contraire un déclin qui entérine la chute de la sécurité sociale et fait plaisir au giron des assureurs privés. Comment comprendre qu'un gouvernement dit de gauche aille dans ce sens! C'est le loup habillé en mouton, du sarkosysme déguisé...
100% d'accord.... J'ai eu un échange en milieu d'année dernière avec un délégué d'AG2R qui semblait avoir eu connaissance de ce projet... il me parlait alors de complémentaire élargie à tous les salariés... J'ai appris par ailleurs que certaines branches étaient déjà dans l'obligation d'apporter à leurs salariés le bénéfice de cette disposition étant entendu qu'un éventuel refus est considéré comme irréversible... En tout état de cause, c'est du pain béni pour les assureurs ; c'est même une future rente pour quelques sociétés en situation d'oligopôle.... enfin, ce sera une rente si le système ne se casse pas la gueule.... Cela me fait penser au pari de Pascal....
Le « chômage partiel » a enfin trouvé un vrai nom : « activité partielle ».
Les négociations avec les patrons, depuis des siècles, ont toujours été : permettez-nous de licencier, nous embaucherons. Le salaire, les charges, la retraite et le temps de travail, les patrons savent gérer, d’homme à homme, à l’embauche, tu prends ou tu parts. Mais dedans, pas souvent, quand on veut fermer, ça coute cher s’ils se défendent. Pouvoir compter sur l’état, le droit, les forces de l’ordre, cela rassure et donne bonne conscience.
Vive les licenciements libres et gratuits, moteur de la croissance !
C'est clair,net,et précis, en France il n'y a pas de création d'emplois car la main d'oeuvre se trouve ailleurs et moins cher (parait-il).
Il faut croire que la science et les nouvelles technologies ne servent pas à grand chose, juste pour améliorer les bénefs des rentiers mais pour les salariés, rien de rien.
Pourtant en France, comme le dit Mélenchon, nous sommes entourés de mers qui pourraient être des puits d'emplois si les "politiques le voulaient mais ils ne veulent pas.
Nous avançons à grand pas vers le 18ème siècle en ce qui concerne les travailleurs.
C'est un retour aux sources du capitalisme, à l'ère pré-industrielle avec le souvenir de jours meilleurs que nos enfants et nos petits enfants risquent bien de ne pas connaître. Fatalité, résignation, dépression, fin du désir d'un monde dirigé par des pervers pour des individus qui consentent à en être objets et puis demain peut-être chair à canon.... A quoi bon cette connaissance que nous pouvons avoir des rouages, des déterminants, des enjeux... Cette "crise" a scellé l'entrée dans l'ère de l'impuissance individuelle et collective, réticulaire et atomisée... Un retour en arrière semblant en effet impossible dans un contexte où le pouvoir des élites n'a jamais été aussi fort....
Le patronat français depuis plus de dix ans, sous Parisot particulièrement, notre Margaret pourfendeuse, a saisi la possibilité de tailler dans les dernières défenses collectives des salariés. Plus personne ne se syndique, ça ne se fait plus, c’est même honteux, et, si vous voulez être bien vu ; entre nous, on se fait confiance, nul besoin de ces gens-là. Individualisons a été la campagne continuelle des organisations patronales. La liberté contractuelle est souple, adaptable et évolutive.
Du passé, faisons table rase et ouvrons ce nouvel espace de liberté,… d’exploiter sans freins.
Une fois de plus: toutes les belles intentions sont vaines lorsque l'on a réalisé que le travail n'existera bientôt plus, n'existe plus. En tout cas plus sous cette forme de salariat.
Alors tout ce bla-bla ne sert plus à rien, nous perdons le temps précieux qui pourrait nous permettre de faire à temps la révolution sociétale qui s'impose.
c'est faux lorsque vous parlez de la disparition du salariat et que le travail n'existera bientôt plus : deux exemples
1900 19 millions d' "actifs dont 4 millions de salariés 1946 19.6 millions d' "actifs" dont 12 millions de salariés (les autres catégories : paysans indépendants notamment) 2010 21.5 millions d'actifs dont 19 de salariés, le reste : paysans, épouses de, professions indépendantes, libérales, réglementées et je compte pas la fonction publique de l'époque qui est la garde avancée du salariat partie aussi du salariat
autre chiffre la part d' "actifs " dans la population active en âge de travailler (les 21 -61 ans )recensement 1962 année du plein emploi : 67.6% recensement de 2008 76.7%
d'une part l'institution salariale s'est construite sur un siècle avec de très fortes institutions (la cotisatio sociale, la fonction publique, la retraite, le salaire à la qualification) et n'a cessé de grossir, malgrè les réformes de ces trente dernières années
Je trouve cet article sans intérêt ; de l'eau tiède d'un de ces penseurs de la condition salariale qui n'a jamais vécu la précarité... un de ces penseurs de la caste des scribes de l'injustice et de l'ineptie d'une société qui part à vaux l'eau dans un contexte ou les conditions de travail elles-mêmes viennent à passer au second plan.... Un emploi à tout prix.... Comme le rappelle cet article, les salariés de Renault Billancourt n'étaient pas préparés au changement.... Seule une politique ambitieuse de formation continue véritablement adaptée aux besoins de ceux qui sont sensibles aux ratées du marché peut leur permettre de trouver les conditions d'une mobilité sécurisée.... Mais c'est là, probablement une de ces dispositions dont nous ne verrons pas la couleur avant longtemps....
En effet, sans intérêt. Quoique... ce genre de prose qui fait bailler d'ennui et de gêne, tellement elle suinte l'hypocrisie de curé des clercs du social-libéralisme, donne aux lecteurs de Mediapart une idée de la ligne éditoriale de ce journal en matière "économique et sociale". La même rengaine serinée inlassablement, mais presque honteusement (d'où le titre trompeur). Cela dit ils ont raison d'avoir honte: l'orientation de Médiapart sur ce sujet est littéralement honteuse.
« Seule une politique ambitieuse de formation continue véritablement adaptée aux besoins de ceux qui sont sensibles aux ratées du marché peut leur permettre de trouver les conditions d'une mobilité sécurisée… » JEAN-FRANCOIS, est la rengaine du MEDEF depuis 30 ans pour justifier le taux de chômage.
Ils n’y sont pour rien, les patrons, la politique de formation est le coupable.
Quelle position balancée ! C'est très distingué ce genre de position, le mec qui réfléchit qui voit les problème économiques globaux, mais qui ne risque pas trop de se retrouver dans "un plan social".C'est la position de quelqu'un qui n'est pas très souvent confronté aux délicates méthodes patronales du licenciement arbitraire, du mépris des droits des travailleurs et des velleités à priver les salariés des possibilités de se défendre.
Que Monsieur Gazier nous dise ce qu'il y a des JUSTE dans cet accord ?
Cette position indique mieux qu'un discours pourquoi Médiapart était si peu prolixe sur l'accord ! En fait c'est un soutien à peine déguisé à l'accord signé par la "responsable" CFDT
Sur la formation professionnelle Monsieur GAZIER devrait savoir qu'une infime partie des salariés bénéficie de la formation professionnelle. Dans le bâtiment, la propreté, la boulangerie, la restauration, les salariés avec 10 ans, 15 ans d'ancienneté n'ont jamais vu la couleur d'un jour de formation. Au moment où ils sont licenciés l'employeur très gentil, les informe qu'ils ont acquis 120 heures à ce titre.
Cet accord "si juste et si équilibré" ne prévoit pas un jour de plus, ne fait aucune obligation à l'employeur d'accorder le droit à formation au salarié et renvoie à d'autres négociations "la portabilité".
Ce qui n'est pas équilibré c'est qu'après 15 ans de bons et loyaux services une vendeuse qui a acquis un bon niveau de qualification, n'a pas eu un seul changement de coefficient, pas un seul jour de formation. Quand elle va aller travailler ailleurs il serait étonnant que l'employeur respecte "la portabilité" des heures de formation.
je signale qu'un employeur peut opposer 3 refus à la demande de DIF d'un salarié.
Médiapart semble avoir de grandes réticences à s'engager dans la défense minimum des droits des salariés. Donc à Médiapart on va entériner une régression sociale dont on mesure mal l'ampleur.
Les salariés des entreprises petites ou grandes savent déjà ce qu'est la flexsécurité, l'angoisse de perdre son emploi, de ne pas voir son CDD renouvelé, le chantage à la baisse de salaire.
NON cet accord n'est pas équilibré, il donne toute satisfaction au MEDEF, aux boîtes d'intérim et aux patrons pas génés pour licencier sans cause réelle et sérieuse, il laisse les salariés sur le carreau.
je ne suis pas d'accord avec votre approche qui consiste à dire que cet accord est acceptable s'il est "équilibré" car c'est êre d'accord avec le diagnostic de nos maîtres. Ni une baisse de la durée de travail, ne s'est accompagnée d'une baisse du salaire, ni une hausse du salaire ne s'est soldée par une augmentation de la durée du travail, ni la baisse de l'âge de départ en retraite ne s'est accompagnée d'une entrée juvénile sur le marché du travail, ni une sécurité sociale ne s'est accompagnée d'une augmentation des usuriers et des taux d'intérêts, ni les congés payés ne sont accompagnés de l'instauration de jours travaillés non payés...l'obligation légale de circonstancier le licenciement (lettre avec des motifs précis...) ne s'est pas accompagnée d'un droit au licenciement à la tête du client
des fois ça m'étonne que les opposants soient si proches du discours de leur patrons
dire oui s'il est équilibré c'est dire oui aux attaques contre le code du travail oui à la théorie du coût du travail, ...
de toute manière l'accord n'a pas à être amandé mais à être rejeté en réfutant
toutes les justifications présentées comme "justes" "logiques" "inévitables"
"arithmétique" dans un cas où il est quand même question de la répartition du PIB qui est une affaire politique et non économique
un accord ce n'est pas la logique mais le rapport des forces
même si on m'explique que c'est logique et tout le blablabla je continuerai à mener bataille pas contre la logique mais contre ceux qui sous l'argument fallacieux de la logique y mettent tous leurs oeufs bien
J'ironise sur la position du bouquin de Monsieur Gazier, vous n'avez pas lu la suite où je tente d'expliquer que cet accord est tout pourri et que ça me contrarie qu'il soit jugé d'une façon aussi indulgente sur Médiapart.
Je ne sais pas comment il faut s'exprimer pour être compris. ce Monsieur Gazier nous dit que dans cet accord il y a des choses avantageuses pour les salariésdonc qu'il est équilibré et pourrait être acceptable.
Je répond c'est faux avec les éléments que me donnent des faits très précis concernant les salariés des petites entreprises.
Je ne suis pas d'accord avec le diagnostic des maîtres ni avce leur logique et ce n'est pas seulement une position théorique.
Philipo ce qui me gêne le plus c'est la position de Médiapart dans cette histoire, j'ai connu Médiapart plus radical!
La CGT et FO (qui représentent plus de salariés que les trois syndicats signataires de l'ANI soit CFDT-CGC et CFTC) appellent à manifester et à des actions dans toute la France le 5 mars.
Voilà un projet, totalement imposé par le MEDEF qui n'en espérait pas tant (comment imaginer qu'un gouvernement de gauche accepterait de valider de tels reculs sociaux !), qui vient rassembler contre lui une majorité de salariés.
Cet accord inique aura peut-être le mérite de rassembler les salariés contre lui. Dommage que les syndicats soient, au final, contraints de se positionner les uns contre les autres mais le reclassement de Chérèque a un prix !
1/ Si l'on avait demandé aux syndicats d'écrire les propositions pour une sécurisation de l'emploi et de la formation, aucun des articles de l''accord n'existerait... donc la totalité des articles est au profit du MEDEF qui a rédigé le texte de base et les quelques aménagements obtenus sont des reports des décisions qui pourraient être à l'avantage des salariés. On a donc une "négociation" sur la base d'un 100 % favorable au MEDEF et un résultat final qui reste à 99 % favorable au MEDEF, ce qui permet de dire qu'il est "équilibré" !
2/ Le chômage partiel devenant une "activité partielle" est une considérable avancée, un sans emploi est donc désormais en "activité nulle"...
« un sans emploi est donc désormais en "activité nulle"... », merci, JEANNIMES, pour ce superbe label du boulot de chien que connaissent tous les inscrits à Polemplois pour toucher la paye.
D'ailleurs c'est un problème que les syndicats soient arrivés sans revendications claires, sans un texte définissant un cadre de la négociation autre que celui du MEDEF.
Avec une base de travail à eux, les syndiacts auraient pu être un peu plus offensifs. Maintenant on va se mobiliser pour éviter le pire, pour sauver quelques meubles.
Je pense que rien ne les empêchait de produire un texte chacun pour son compte ou regroupés ce qui bien sûr aurait été plus efficace
C'était de l'ironie... devant le fait que des syndicats aient pu signer un texte contenant ce genre de définition... je la poussais à sa limite ultime seulement.
Les syndicats ont des propositions depuis fort longtemps et parfaitement rédigées.
Seulement quand on négocie avec le MEDEF, il faut travailler sur son texte, sinon il n'y a pas ouverture de négociations : le MEDEF refuse tout chantage. Car c'est un chantage de vouloir négocier sur des bases favorables aux salariés.
Cf. les cris d'orfraie de la Parisot quand il est question d'amnistie de syndicalistes ayant manifesté contre leurs patrons.
Rarement lu un tel enfilage d'évidences et de pléonasmes, exprimés sur le ton de la docte suffisance !.. L'avenir de l'emploi ? Tout repose sur la qualité de la négociation, entre gens de bonne éducation ! Super !
Pas une idée nouvelle, pas l'audace d'une proposition d'avenir. Peut-être faudrait-il interroger la notion de "salariat" ? Peut-être revoir l'organisation sociale de l'entreprise ? Imaginer de nouvelles formes de contractualisation ? Modifier le mode de diffusion de l'information interne ? Expérimenter l'entreprise-organisme plutôt que l'entreprise-mécanisme ? Valoriser l'activité plutôt que l'emploi ? Multiplier et moduler les sources de la rémunération ?
Ca sert à quoi d'être prof si c'est pour n'exprimer que des banalités, sans aucun zeste d' imagination ?!..
Il y a de plus en plus de milliardaires, la crise atteint ses objectifs
tout se passe comme si le travail était la finalité de la vie
ce n'est pas le travail qui est un droit
ce qui est un droit est la possibilité de vivre dans des conditions correctes et bien sur le travail en est une composante importante
tant que l'on considérera comme une victoire qu'un fond de pension ou un investisseur venu du bout du monde rachète une usine en France, on aura des Mittal ou des Titan qui nous prendrons pour des vaches à dividentes et nous mèneront à l'abattoir comme des chevaux de réforme!
On voit bien que les efforts demandés aux salariés ne servent finalement à rien; à la fin l'entreprise fait ce qu'elle veut, et peut licencier !
A ce stade, à mon avis, le seul moyen de s'en sortir, est la REVOLUTION !
L'Etat n'est pas du côté des salariés, il y a bien Montebourg, mais c'est le libéral Moscovici ey l'exilé fiscal Cahuzac qui décident de notre politique économique et fiscale !
Ne connaissant pas suffisamment la problématique des salariés et des entreprises,je m'informe en ayant tendance à me situer par principe du coté des plus fragiles et dépendants.
Je me rends compte que pour le profane que je suis ,il s'agit d'un duel verbal,mots contre mots,comparaisons sommaires....notemment avec l'Allemagne.
Je soufaiterais qu'en lien avec ce débat soit disponibles des études chiffrées et détaillées sur les entreprises françaises PME et autres,sur la situation des salariés selon le niveau d'importance de l'entreprise avec les revenus des cadres et dirigeants notemment,que sous entend et à quel niveau assurance complémentaire,accord salarié/entreprise s'agissant de la demande du patront...
Par ailleurs je voudrais disposer et en français d'une analyse fouillée des bilans des entreprises allemandes , de la sécurité des salariés et de la situation des chomeurs(seuils,ressources ,durée...)
En somme, qu'un point de vue indépendant et personnel puisse se construire.
petite vidéo de trois minutes : "umfairteilen" = "modifier le partage équitablement" ; il s'agit d'une campagne en Allemagne pour l'instauration d'un impôt sur la fortune ;
si vous ne comprenez pas l'allemand, faites glisser le curseur jusqu'aux animations powerpoint qui montrent l'évidence de l'injustice du régime:
à gauche: le pourcentage dans la population allemande concernée , à droite: la part des richesses patrimoniales cela commence par: 50% se partagent 1,3%!
Moi, je m'interroge si, certain journaliste de Médiapart comme Rachida el Azzouzi et Joseph Confavreux ne sont pas pour cette Europe libérale et que se sont les commentaires qui remettent les pendules à l'heure des choix économiques de nos dirigeants. Il existe des journaux et la télé pour les chiens de garde du système.
Vidéo de la conférence de Gérard Filoche sur l'ANI:
Argelès-sur-mer le 14 mars 2013. Gérard Filoche analyse l'accord national interprofessionel signé le 11 janvier 2013 entre le MEDEF et trois syndicats minoritaires (sur 8). Le gouvernement PS-EELV avec le soutien des députés UMP et FN envisage de le transposer en loi modifiant le code du travail.
Putain d'usine !
(A lire et à voir)
http://www.lesmutins.org/Inventaire-avant-liquidation.html