Vous les avez déjà vues, perchées sur des talons, dans les travées d’un salon de l’automobile, à l’entrée du siège d’une grande banque ou distribuant le micro aux invités d’un congrès, souriantes et discrètes. Le travail de ces hôtesses d’accueil, « jeunes, jolies et sous-traitées », pour reprendre les mots de l’ouvrage de Gabrielle Schütz, sociologue invitée de cet « Espace de travail », est pourtant rarement interrogé ou analysé.
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Vous les avez déjà vues, perchées sur des talons, dans les travées d’un salon de l’automobile, à l’entrée du siège d’une grande banque ou distribuant le micro aux invités d’un congrès, souriantes et discrètes. Le travail de ces hôtesses d’accueil, « jeunes, jolies et sous-traitées », pour reprendre les mots de l’ouvrage de Gabrielle Schütz, sociologue invitée de cet « Espace de travail », est pourtant rarement interrogé ou analysé.
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