Il n’en reste souvent que la formule de De Gaulle le qualifiant de « pronunciamiento » mené par un « quarteron de généraux en retraite ». Mais à l’extrême droite, la guerre d’Algérie continue parfois, ici et maintenant. Comme si, dans l’espoir d’une revanche contre les djihadistes, apparaissaient des rêves d’avril 1961. L’été dernier, un groupuscule d’extrême droite marseillais s’apprêtant à passer au terrorisme a été démantelé. Amplement composé de fils de gendarmes et policiers, il avait choisi de se baptiser « Organisation de l’armée secrète » (OAS), du nom de l’organisation terroriste des ultras de l’Algérie française.
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