Syriza vient de remporter une victoire historique en Grèce. Son ascension fulgurante comme celle de Podemos en Espagne suscitent un intérêt nouveau pour la gauche radicale, jusqu’alors plutôt négligée par les grands médias ou même le milieu académique. Il n’est pas anodin que l’une des principales composantes fondatrices de Syriza soit issue d’un parti communiste dit « de l’intérieur », lui-même fondé en 1968 sur une base eurocommuniste.
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Syriza vient de remporter une victoire historique en Grèce. Son ascension fulgurante comme celle de Podemos en Espagne suscitent un intérêt nouveau pour la gauche radicale, jusqu’alors plutôt négligée par les grands médias ou même le milieu académique. Il n’est pas anodin que l’une des principales composantes fondatrices de Syriza soit issue d’un parti communiste dit « de l’intérieur », lui-même fondé en 1968 sur une base eurocommuniste.
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