Le nombre de fichiers de police serait passé, selon les rapporteurs parlementaires, de 58 en mars 2009 à 80 en décembre 2011, tandis que dix avaient été supprimés. «Alors qu’en mars 2009, seuls 27% des fichiers effectivement utilisés étaient illégaux, à l’heure actuelle, ce chiffre est porté à 45%», écrivaient-ils.
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