L’Université de Toulouse Jean-Jaurès a de multiples raisons de se révolter. Depuis deux mois, elle est paralysée par un mouvement sur lequel se greffent plusieurs revendications. Les bâtiments sont bloqués depuis le 6 mars.
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L’Université de Toulouse Jean-Jaurès a de multiples raisons de se révolter. Depuis deux mois, elle est paralysée par un mouvement sur lequel se greffent plusieurs revendications. Les bâtiments sont bloqués depuis le 6 mars.
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