« Aujourd’hui, il faut être extrêmement clair : un prêtre qui a été condamné pour des actes de pédophilie ne doit plus pouvoir exercer de ministère. » La phrase émane de monseigneur Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise et responsable de la cellule de veille sur la pédophilie de l’épiscopat français. Le visage de l’Église aux yeux du public, depuis l’irruption de l’affaire Barbarin dans les médias. Invité en direct sur France 2 le 13 avril, il poursuivait sans hésiter : «Il peut rester prêtre, mais il faut avoir des mesures conservatoires extrêmement importantes. C’est-à-dire il ne célèbre plus l’eucharistie, la messe, il ne célèbre plus les sacrements, il n’est plus en situation de catéchèse. »
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
« Aujourd’hui, il faut être extrêmement clair : un prêtre qui a été condamné pour des actes de pédophilie ne doit plus pouvoir exercer de ministère. » La phrase émane de monseigneur Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise et responsable de la cellule de veille sur la pédophilie de l’épiscopat français. Le visage de l’Église aux yeux du public, depuis l’irruption de l’affaire Barbarin dans les médias. Invité en direct sur France 2 le 13 avril, il poursuivait sans hésiter : « Il peut rester prêtre, mais il faut avoir des mesures conservatoires extrêmement importantes. C’est-à-dire il ne célèbre plus l’eucharistie, la messe, il ne célèbre plus les sacrements, il n’est plus en situation de catéchèse. »
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous