Le Conseil d’État s’est penché, mercredi 29 novembre, sur l’épineuse situation des assignés à résidence de longue durée, cette poignée de présumés djihadistes que l’État a décidé de maintenir à tout prix sous sa surveillance au nom de l’état d’urgence puis, depuis le 1er novembre, de la loi antiterroriste.
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Le Conseil d’État s’est penché, mercredi 29 novembre, sur l’épineuse situation des assignés à résidence de longue durée, cette poignée de présumés djihadistes que l’État a décidé de maintenir à tout prix sous sa surveillance au nom de l’état d’urgence puis, depuis le 1er novembre, de la loi antiterroriste.
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