La Ville de Paris n'est pas seule en cause. Que des familles roms dorment dans les rues de la capitale est aussi le résultat d'une politique d'État particulièrement répressive à l'égard de cette population. Les démantèlements de campements au-delà du périphérique ont des répercussions sur les communes avoisinantes, en premier lieu Paris. Délogés, les occupants cherchent refuge un peu plus loin. Et c'est ainsi que, parfois, ils échouent dans les cabines téléphoniques de la place de la Bastille ou sur les trottoirs de la rue du faubourg Saint-Antoine.
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