Alors que l’Assemblée nationale vient d’adopter en première lecture le projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles, les associations de lutte contre les violences commises sur des femmes, submergées d’appels depuis le mouvement #MeToo, sont toujours sur la corde raide.
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Alors que l’Assemblée nationale vient d’adopter en première lecture le projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles, les associations de lutte contre les violences commises sur des femmes, submergées d’appels depuis le mouvement #MeToo, sont toujours sur la corde raide.
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