Les hasards du calendrier sont parfois cruels. Ce vendredi 30 octobre, alors que la France plonge dans un deuxième confinement, l’Insee publiait les chiffres du PIB du troisième trimestre avec une croissance record. Entre juin et septembre, cet indicateur a bondi de 18,2 %, la plus forte croissance de l’histoire statistique connue. Techniquement, cela met fin à une contraction de trois trimestres consécutifs et à la « récession », qui est entendue par les conjoncturistes comme deux trimestres consécutifs de baisse du PIB. Il n’y a pourtant pas de quoi pavoiser, bien au contraire.
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Les hasards du calendrier sont parfois cruels. Ce vendredi 30 octobre, alors que la France plonge dans un deuxième confinement, l’Insee publiait les chiffres du PIB du troisième trimestre avec une croissance record. Entre juin et septembre, cet indicateur a bondi de 18,2 %, la plus forte croissance de l’histoire statistique connue. Techniquement, cela met fin à une contraction de trois trimestres consécutifs et à la « récession », qui est entendue par les conjoncturistes comme deux trimestres consécutifs de baisse du PIB. Il n’y a pourtant pas de quoi pavoiser, bien au contraire.
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