Pour Nicolas Sarkozy, le coup de pied de l'âne du Conseil constitutionnel, qui a censuré la loi sur la taxe carbone le 30 décembre, est venu clore une année pour le moins désastreuse. Comme une sorte de point final à un millésime 2009 qui entame le bilan de cette première moitié de quinquennat et devrait laisser des traces en vue de l'échéance de 2012. Et l'impression laissée par la présentation des vœux, jeudi 31 décembre, ne change en rien l'analyse sur ce qui s'est passé l'année écoulée et ce qui s'annonce. Nicolas Sarkozy en a fait l'aveu: si le pire a été «évité», si notre pays «a été moins éprouvé» que les autres, il lui a fallu admettre que 2009 a été «difficile pour tous». Et on a bien entendu qu'il ne parlait pas que de lui.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Pour Nicolas Sarkozy, le coup de pied de l'âne du Conseil constitutionnel, qui a censuré la loi sur la taxe carbone le 30 décembre, est venu clore une année pour le moins désastreuse. Comme une sorte de point final à un millésime 2009 qui entame le bilan de cette première moitié de quinquennat et devrait laisser des traces en vue de l'échéance de 2012. Et l'impression laissée par la présentation des vœux, jeudi 31 décembre, ne change en rien l'analyse sur ce qui s'est passé l'année écoulée et ce qui s'annonce. Nicolas Sarkozy en a fait l'aveu: si le pire a été «évité», si notre pays «a été moins éprouvé» que les autres, il lui a fallu admettre que 2009 a été «difficile pour tous». Et on a bien entendu qu'il ne parlait pas que de lui.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous