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Dialogue entre Marianne et Manugérald, librement adapté du Malade Imaginaire, acte III scène X. A ceci près que Marianne est vraiment malade.
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OPEN LUX : après l’enquête des LUXLEAKS en 2014, un consortium international de médias publient - ENCORE - de nouvelles informations ce lundi, sur le centre financier du Luxembourg, connu pour défiscaliser ou optimiser les plus grandes fortunes mondiales. 15 000 Français y possèdent des société totalisant 100 milliards d’euros d’actifs, soit 4 % du PIB français.
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Le ministre de l’Intérieur s’est dit « scandalisé par le travail de sape de la République des militants de Génération identitaire » après une nouvelle opération anti-migrants du groupuscule d’extrême-droite dans les Pyrénées.
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Deux ans après le début de la séquence post-Gilets jaunes, le 15 janvier 2019, l'association « Rendez les doléances ! » demande à Macron de « restituer aux Français ce qu’ils ont dit ». Un engagement public de plus du président qui est n'est pas tenu. Le stratagème du "Grand débat" est à rapprocher de la "Convention citoyenne pour le climat" et du "Conseil citoyen" sur le vaccin.
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Un universitaire dénonce l'ineptie de l'exécutif et de sa gestion rationaliste totalement irrationnelle et inefficace, pour avoir donné la priorité à l'économie en sacrifiant la santé à deux reprises, à six mois d'écart, sans tenir compte des leçons de la première vague. Il en va cette fois-ci de la santé mentale du pays en plus d'une dégradation générale de l'état de santé de la population.
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Emmanuel Macron confie ses réflexions à l'hebdomadaire de Patrick Drahi, le propriétaire de SFR en compétition pour le déploiement de la 5G. Trois décrets méprisent les libertés publiques et E.Macron feint de s'étonner d'une crise de l'autorité. Ce n'est pas l'autorité qui est en crise, mais sa légitimité. Son exercice du pouvoir bafoue depuis le début le cadre juridique intangible de son mandat.
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Il leur faut combien de morts ? Des pays reconfinent. Le vaccin est un sparadrap qui ne traite que les effets du modèle de société actuel mais pas ses causes, saccage de la nature pour des profits et suppression des budgets des hôpitaux et de la recherche fondamentale. Les politiques continuent à défendre un modèle nocif malgré l'évidence de la nécessité à en changer. Ils ne sont pas sérieux.
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C'est Noël façon LREM. Emmanuel Macron prend un un coup d'avance sur la Défenseure des Droits dans la régression des libertés publiques (en en faisant porter le chapeau à Jean Castex qui signe trois Décrets permettant de ficher les personnes pour leurs opinions politiques, syndicales, religieuses, addictions, santé, relations et pratiques sportives ). Une illustration de la méthode qui gouverne.
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A Grenoble, 130 policiers ont déposé une demande de rupture conventionnelle. Ils ne digèrent pas les propos tenus par Emmanuel Macron lors d'une interview accordée à Brut. Evoquant "des contrôles au faciès", le chef de l'Etat avait annoncé la création d'une plateforme internet pour les dénoncer.
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Ancien banquier, le président de la République « investit » dans les idées politiques comme il le ferait en bourse. Une idée qui promet un bon rendement, il achète. Une autre qui est orientée à la baisse, il vend.
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Les révélations d'exactions policières (violences, commentaires racistes, etc.) sont de plus en plus nombreuses. La mobilisation de la presse et des citoyens permet de dévoiler au grand jour les dérives d'une institution à la structure branlante. A l'aune de ces divulgations, on doit réfléchir sur les diverses causes de ces phénomènes, dont les relations Etat-Justice-Police font partie.
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La plus secrète, la plus puissante, la plus terrifiante institution qui se puisse imaginer : une administration chargée de collecter les songes de tout un chacun, de les rassembler, puis de les trier, de les classer, de les interpréter, afin d’isoler ces « maîtres-rêves » dans lesquels le destin de l’Empire et de son tyran pourra être déchiffré (Ismaïl Kadaré, Le palais des rêves).
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La dame est belle, la voix est fragile et ferme, l’âme est douce et puissante. Et le verbe sans concession. Bouleversant « en-bas », il est tu par « en-haut » et ses fidèles plateaux qui aiment ternir, ignorer et éteindre tout souffle de fraternité. Or ce cri, vibration de l’air qui nous manque toujours plus, ne saurait être flouté.
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«Je le redis ici, je serai intraitable, [sur les violences policières]…» C'est sur le plateau de Mediapart, que le ''presque'' président l'avait clamé haut et fort, le 5 mai 2017. Et tellement “intraitable” qu'il ne les a pas traité au contraire, «Ne parlez pas de répression ou de violences policières, ces mots sont inacceptables dans un État de droit. […] Je refuse ce terme.» le 7 mars 2019.
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Une banale affaire de policiers absurdistanais ayant fait un peu trop d’exercice physique crée des remous dans le pays.