Donald Rumsfeld, un symbole de l’horreur américaine

Mort dans son ranch le 29 juin, Donald Rumsfeld a incarné les pires facettes des États-Unis. Cet ultraconservateur, convaincu que l’Amérique devait s’imposer au monde à coups de canon, a été aux côtés de Dick Cheney l’un des principaux artisans du désastre irakien. Il est celui qui a systématisé la torture et les exactions.

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Au musée des horreurs, nul doute qu’une salle entière lui sera consacrée. Donald Rumsfeld est mort mardi 29 juin, à l’âge de 88 ans, dans son ranch de Taos, au Nouveau-Mexique. Les hommages ont été limités tant l’homme a incarné pendant plus d’un demi-siècle quelques-unes des pires facettes des États-Unis : la morgue de l’hyper-puissance, un impérialisme brutal, un conservatisme haineux, un cynisme revendiqué avec, en bout de course, des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité pour lesquels il n’aura jamais été condamné, malgré d’innombrables tentatives de poursuites.

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