Istanbul (Turquie).– Assis à une table de café au pied de la vieille tour génoise de Galata, qui était encore, il y a un siècle, le cœur palpitant d’un Istanbul cosmopolite et industrieux, où le turc, le grec et l’arménien se mêlaient aux frondaisons des échoppes, Murad Mihçi désigne du bras l’autre rive du Bosphore, côté Asie.
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Istanbul (Turquie).– Assis à une table de café au pied de la vieille tour génoise de Galata, qui était encore, il y a un siècle, le cœur palpitant d’un Istanbul cosmopolite et industrieux, où le turc, le grec et l’arménien se mêlaient aux frondaisons des échoppes, Murad Mihçi désigne du bras l’autre rive du Bosphore, côté Asie.
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