En réaction au décret anti-réfugiés et anti-musulmans de Donald Trump, la Commission européenne a poussé des hauts cris le 31 janvier en affirmant que « dans l’Union européenne, nous ne discriminons pas sur la base de la nationalité, de la race ou de la religion ». Mais cela ne l’empêche pas de finaliser, dans le même temps, une offre à la Libye dont le but est d'empêcher les migrants d’atteindre les côtes européennes et d'y demander l’asile.
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En réaction au décret anti-réfugiés et anti-musulmans de Donald Trump, la Commission européenne a poussé des hauts cris le 31 janvier en affirmant que « dans l’Union européenne, nous ne discriminons pas sur la base de la nationalité, de la race ou de la religion ». Mais cela ne l’empêche pas de finaliser, dans le même temps, une offre à la Libye dont le but est d'empêcher les migrants d’atteindre les côtes européennes et d'y demander l’asile.
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