En France, c’est un débat qui n’existe pas. Il y a les partisans et les opposants des frappes militaires en Syrie. Il y a des critiques sur la coalition internationale. Mais en dehors des petits cercles de spécialistes, il n’y a pas de discussion sur le mandat international avec lequel la France frappe des positions de l’État islamique (EI, ou Daech) en Syrie. Comme si le droit international n’était plus franchement une question pertinente en temps de « guerre contre le terrorisme ». En Grande-Bretagne, en revanche, le débat agite le parlement, appelé à se prononcer mercredi sur l’engagement de l’armée britannique en Syrie.
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En France, c’est un débat qui n’existe pas. Il y a les partisans et les opposants des frappes militaires en Syrie. Il y a des critiques sur la coalition internationale. Mais en dehors des petits cercles de spécialistes, il n’y a pas de discussion sur le mandat international avec lequel la France frappe des positions de l’État islamique (EI, ou Daech) en Syrie. Comme si le droit international n’était plus franchement une question pertinente en temps de « guerre contre le terrorisme ». En Grande-Bretagne, en revanche, le débat agite le parlement, appelé à se prononcer mercredi sur l’engagement de l’armée britannique en Syrie.
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