ALGER (Reuters) - Obligé de répondre à une fronde sans précédent depuis son accession au pouvoir en 1999, le président algérien Abdelaziz Bouteflika a tenté de trouver une porte de sortie en faisant savoir dimanche par son directeur de campagne qu'il était prêt à renoncer au pouvoir dans un an s'il est réélu en avril.
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