En Egypte, c'est l'événement dont on parle depuis des semaines. Nul ne peut ignorer qu'Obama a choisi l'université du Caire pour prononcer, ce jeudi 4 juin, un discours qui sera minutieusement disséqué dans tout le monde arabe. Et nul ne fera semblant d'ignorer les bénéfices politiques qu'espère retirer de la visite du président américain le régime «périmé» du président Hosni Moubarak, comme le qualifie l'écrivain et journaliste égyptien Alaa el Aswany (lire notre entretien avec Alaa el Aswany ici).
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En Egypte, c'est l'événement dont on parle depuis des semaines. Nul ne peut ignorer qu'Obama a choisi l'université du Caire pour prononcer, ce jeudi 4 juin, un discours qui sera minutieusement disséqué dans tout le monde arabe. Et nul ne fera semblant d'ignorer les bénéfices politiques qu'espère retirer de la visite du président américain le régime «périmé» du président Hosni Moubarak, comme le qualifie l'écrivain et journaliste égyptien Alaa el Aswany (lire notre entretien avec Alaa el Aswany ici).
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