Berlin (Allemagne), de notre correspondant - Ce n’est qu’un symbole, mais l’opération « sauver le diesel » lancée par le gouvernement fédéral sous la forme d’un grand « Sommet national du diesel » a commencé hier à Berlin par la fuite des participants face à quelques dizaines de militants pour l’environnement. Dans la matinée, un commando de Greenpeace avait déployé une large banderole « Bienvenue à Fort NOx » sur la façade du ministère des transports où devait se tenir la réunion. Le message est un jeu de mots qui fait référence, tout à la fois, à la forteresse réputée imprenable de Fort Knox, où les États-Unis entreposent leur or, et au NOx, la formule chimique des oxydes d’azote, des gaz nocifs abondamment libérés par les moteurs diesels (surtout le dioxyde d’azote NO2). À la suite de cette opération qui n'était pourtant pas vraiment menaçante, les participants de la rencontre ont préféré aller s’installer dans l’un des bâtiments les plus protégés de la République fédérale, le ministère de l’intérieur.
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Berlin (Allemagne), de notre correspondant - Ce n’est qu’un symbole, mais l’opération « sauver le diesel » lancée par le gouvernement fédéral sous la forme d’un grand « Sommet national du diesel » a commencé hier à Berlin par la fuite des participants face à quelques dizaines de militants pour l’environnement. Dans la matinée, un commando de Greenpeace avait déployé une large banderole « Bienvenue à Fort NOx » sur la façade du ministère des transports où devait se tenir la réunion. Le message est un jeu de mots qui fait référence, tout à la fois, à la forteresse réputée imprenable de Fort Knox, où les États-Unis entreposent leur or, et au NOx, la formule chimique des oxydes d’azote, des gaz nocifs abondamment libérés par les moteurs diesels (surtout le dioxyde d’azote NO2). À la suite de cette opération qui n'était pourtant pas vraiment menaçante, les participants de la rencontre ont préféré aller s’installer dans l’un des bâtiments les plus protégés de la République fédérale, le ministère de l’intérieur.
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