Édimbourg (Royaume-Uni), correspondance.– La première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, et la cheffe des conservateurs écossais, Ruth Davidson, n’ont pas grand-chose en commun. L’une, leader du Scottish National Party (SNP), espère être celle qui mènera l’Écosse vers l’indépendance dans les deux prochaines années, l’autre veut tout faire pour l’en empêcher. Mais elles sont d’accord sur une chose : Boris Johnson est loin d’être leur premier ministre britannique idéal, et il pourrait signer la fin du Royaume-Uni tel qu’on le connaît.
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Édimbourg (Royaume-Uni), correspondance.– La première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, et la cheffe des conservateurs écossais, Ruth Davidson, n’ont pas grand-chose en commun. L’une, leader du Scottish National Party (SNP), espère être celle qui mènera l’Écosse vers l’indépendance dans les deux prochaines années, l’autre veut tout faire pour l’en empêcher. Mais elles sont d’accord sur une chose : Boris Johnson est loin d’être leur premier ministre britannique idéal, et il pourrait signer la fin du Royaume-Uni tel qu’on le connaît.
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