« Une jeune fille nous avait été amenée, elle n'avait pas plus de 14 ou 16 ans. “Maniac” [criminel de guerre – ndlr] n'a pas aimé qu'elle soit sortie sans permission dans le couloir. Il l'a punie en l'envoyant en cadeau aux militaires sur la ligne de front pour satisfaire leurs besoins sexuels. Elle y a été violée plusieurs fois. » Les récits de viols et de tortures sont lus à haute voix, le 29 août 2018, devant le cabinet des ministres de Kiev, par des activistes et victimes de la guerre qui n'ont jamais obtenu justice.
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« Une jeune fille nous avait été amenée, elle n'avait pas plus de 14 ou 16 ans. “Maniac” [criminel de guerre – ndlr] n'a pas aimé qu'elle soit sortie sans permission dans le couloir. Il l'a punie en l'envoyant en cadeau aux militaires sur la ligne de front pour satisfaire leurs besoins sexuels. Elle y a été violée plusieurs fois. » Les récits de viols et de tortures sont lus à haute voix, le 29 août 2018, devant le cabinet des ministres de Kiev, par des activistes et victimes de la guerre qui n'ont jamais obtenu justice.
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