Afrique(s)

Hors d'Egypte, le coup d'Etat laisse sceptique

L’enthousiasme des Égyptiens après la destitution de Morsi ne dépasse pas les frontières. Le président américain s’est dit « profondément inquiet ». Et de nombreux observateurs craignent le retour sur le devant de la scène de l’armée égyptienne, autant que la mise à l’écart artificielle des Frères musulmans.

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Ce fut le commentateur le plus prolixe sur la crise égyptienne, du moins parmi les chefs d’État. Mercredi soir, Bachar al-Assad a estimé que la destitution de Morsi marquait la « fin de l’Islam politique ». Une analyse qui permet par ricochet au président syrien de promouvoir, non sans un certain cynisme, le « modèle laïque syrien », dans un pays en proie à une guerre civile qui a fait près de 100 000 morts en deux ans.

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