Le bombardement de Homs dans la nuit de jeudi 3 au vendredi 4 février, qui aurait fait plus de 200 morts, rappelle à qui en douterait qu’une véritable guerre se déroule en Syrie, depuis des semaines déjà. Encerclées par l’armée syrienne, les autres villes de la contestation ont essuyé de violents bombardements. Défié par l’Armée syrienne libre (ASL) qui se manifeste aux portes mêmes de Damas, où de violents combats ont eu lieu la semaine précédente, le régime, à découvert, n’hésite plus à utiliser l’artillerie lourde. La répression a changé de dimension.
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Le bombardement de Homs dans la nuit de jeudi 3 au vendredi 4 février, qui aurait fait plus de 200 morts, rappelle à qui en douterait qu’une véritable guerre se déroule en Syrie, depuis des semaines déjà. Encerclées par l’armée syrienne, les autres villes de la contestation ont essuyé de violents bombardements. Défié par l’Armée syrienne libre (ASL) qui se manifeste aux portes mêmes de Damas, où de violents combats ont eu lieu la semaine précédente, le régime, à découvert, n’hésite plus à utiliser l’artillerie lourde. La répression a changé de dimension.
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