Restera ? Restera pas ? À moins de trois mois des élections européennes, le Parti populaire européen (PPE) pose la question du maintien dans ses rangs du Fidesz, le parti du premier ministre hongrois Viktor Orbán : ce lundi 4 mars, la grande famille de droite européenne a annoncé que douze des formations qui le composent (sur 79 au total, dont 51 siégeant au Parlement européen) demandaient l’exclusion ou la suspension de l’« Union civique hongroise », membre du PPE depuis 2001.
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