L’ex-premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, candidat du centre droit à la présidence de la Commission européenne, s’est dit samedi opposé au fait que la France bénéficie d’un nouveau délai pour réduire son déficit public. La France, qui a déjà obtenu un report jusqu’en 2015 pour être dans les limites des règles budgétaires européennes, «ne peut pas encore une fois avoir un passe-droit», a-t-il déclaré lors d’un point de presse à Berlin.
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L’ex-premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, candidat du centre droit à la présidence de la Commission européenne, s’est dit samedi opposé au fait que la France bénéficie d’un nouveau délai pour réduire son déficit public. La France, qui a déjà obtenu un report jusqu’en 2015 pour être dans les limites des règles budgétaires européennes, « ne peut pas encore une fois avoir un passe-droit », a-t-il déclaré lors d’un point de presse à Berlin.
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