Édimbourg et Glasgow, de notre envoyé spécial.- Dans l’ancien magasin à la moquette élimée qui sert de QG dans l’est de Glasgow à la candidate du Scottish National Party (SNP), le parti indépendantiste écossais, une voix s’élève. « Un peu de silence ! Je voudrais savoir combien d’entre vous ont rejoint le SNP depuis septembre. » Huit mains se lèvent. Sur onze présents…
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