Séoul (Corée du Sud), envoyé spécial.- Ils ont perdu le Nord. Pour le coup, sous le soleil de Séoul, ces grappes de nationalistes vindicatifs, vieilles gens pour la plupart, défilent en brandissant la bannière étoilée yankee à côté du drapeau sud-coréen. Nous sommes samedi 19 mai, sur le boulevard du roi Sejong qui mène au palais Gyeongbokgung. Au milieu des gratte-ciel, l’artère se veut le centre d’une ville tentaculaire : on y trouve les bureaux des principaux journaux, des statues de héros du cru, le siège du gouvernement et… l’ambassade américaine.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Séoul (Corée du Sud), envoyé spécial.- Ils ont perdu le Nord. Pour le coup, sous le soleil de Séoul, ces grappes de nationalistes vindicatifs, vieilles gens pour la plupart, défilent en brandissant la bannière étoilée yankee à côté du drapeau sud-coréen. Nous sommes samedi 19 mai, sur le boulevard du roi Sejong qui mène au palais Gyeongbokgung. Au milieu des gratte-ciel, l’artère se veut le centre d’une ville tentaculaire : on y trouve les bureaux des principaux journaux, des statues de héros du cru, le siège du gouvernement et… l’ambassade américaine.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous