« Nous avons une belle histoire à raconter ! » C’est avec ce slogan qui, en anglais, peut également se comprendre d’une autre manière (« Nous avons un bilan à faire valoir ! »), que Jacob Zuma a mené sa campagne de réélection pour un second mandat de président de l’Afrique du Sud. C’était une manière pour lui de s’abriter derrière l’héritage de son parti, l’African National Congress (ANC), au pouvoir depuis la chute de l’apartheid il y a vingt ans, plutôt que de devoir concourir en s’appuyant sur ses cinq années à la tête du pays (voir notre série de reportages en Afrique du Sud en 2009).
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous