Pour le politologue algérien Rachid Grim, l'absence de représentants crédibles est un point faible du mouvement populaire qui bouleverse en profondeur la donne depuis bientôt trois mois en Algérie. Dans un entretien au site algérien TSA, Tout sur l'Algérie, il regrette que le mouvement n’ait « pas de voix qui donnent une ligne de conduite, qui s’exprime. Chacun parle de son côté ».
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Pour le politologue algérien Rachid Grim, l'absence de représentants crédibles est un point faible du mouvement populaire qui bouleverse en profondeur la donne depuis bientôt trois mois en Algérie. Dans un entretien au site algérien TSA, Tout sur l'Algérie, il regrette que le mouvement n’ait « pas de voix qui donnent une ligne de conduite, qui s’exprime. Chacun parle de son côté ».
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