En 2008, la victoire de Barack Obama était historique en raison de la couleur de sa peau. Elle procédait également d’un profond rejet des huit années de mandat de George W. Bush. Cette seconde victoire ne mérite pas le qualificatif d’historique, mais elle n’en est pas moins remarquable. Le président des États-Unis est en effet parvenu à se faire réélire dans un contexte de crise économique profonde, face à une opposition prête à toutes les contorsions et compromissions idéologiques pour arriver au pouvoir.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous