Addis-Abeba, de notre envoyé spécial. - Fekadu et Dedefa ne savaient pas qu’un peu partout dans la région Oromia, on bloquait aussi les routes avec des pneus en feu, qu’on s’en prenait aux bureaux de l’administration locale ou aux usines d’entreprises étrangères. Mais le mois dernier, ils ont vu, racontent-ils à l’ombre d’un café, les gens faire face à l’armée dans la rue principale de Sululta. Cette même rue qui traverse le bourg en charriant les camions et les minibus, près de laquelle ils finissent de boire leur thé.
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Addis-Abeba, de notre envoyé spécial. - Fekadu et Dedefa ne savaient pas qu’un peu partout dans la région Oromia, on bloquait aussi les routes avec des pneus en feu, qu’on s’en prenait aux bureaux de l’administration locale ou aux usines d’entreprises étrangères. Mais le mois dernier, ils ont vu, racontent-ils à l’ombre d’un café, les gens faire face à l’armée dans la rue principale de Sululta. Cette même rue qui traverse le bourg en charriant les camions et les minibus, près de laquelle ils finissent de boire leur thé.
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