«Offshore leaks»: le rôle des intermédiaires au grand jour
Au fur et à mesure des révélations faites par la presse, l’ampleur des paradis fiscaux se dévoile. L’évasion fiscale, l’argent caché et blanchi recouvrent une vraie industrie : banques, avocats, notaires, conseillers fiscaux, auditeurs, experts-comptables. Les gouvernements ont-ils la volonté de s’y attaquer ?
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Le scandale des paradis fiscaux est en passe de devenir mondial. Au fur et à mesure que les différents journaux publient une partie de la somme gigantesque de documents (plus de deux millions) rassemblés par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), l’ampleur des trous noirs de la finance devient de plus en plus impressionnante. (La quasi-intégralité des articles publiés dans la presse internationale est disponible en anglais sur le site de ICIJ). Pas un pays n’est épargné.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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